Amaroli, une thérapie aux multiples aspects

goutteAmaroli… Mais qu’est-ce qui se cache derrière ce nom si joli ? La plupart des personnes qui ne connaissent pas se retrouve souvent déroutés – voire dégoûtés – à la simple idée de cette thérapie. Il s’agit tout simplement du nom « ancien » de cette thérapie multi-millénaire : thérapie par l’urine. Pouah dirons certains.

Je l’ai pensé aussi au début, à défaut de le dire tout haut. Sauf qu’à bien y réfléchir, les personnes qui se sont présentées sur mon chemin et qui m’en ont parlé avaient pour point commun qu’elles étaient en parfaite santé, rayonnantes de joie et d’amour, qu’elles en parlaient simplement et naturellement comme on parle habituellement de jardinage ou de météo… De quoi planter la graine de la curiosité en moi.

Mes premiers pas ont été de me documenter : si cela est si efficace pour ces personnes, si cela fait partie de ce qui les fait être telles qu’elles sont, et si ce qu’elles me décrivent est vrai, alors il faut que j’en sache plus, malgré mes appréhensions et interrogations multiples.

Après avoir vu passer les différentes références bibliques et d’autres textes anciens qui en parlent en bien, j’ai surtout utilisé mes recherches pour éclairer les doutes dans mon cerveau, et voir ce que mes peurs cachaient. J’ai ainsi découvert que contrairement à ce que je croyais (ah, ces croyances, on dirait que ça ne finit jamais… 😉 ), l’urine n’est pas un « déchet » mais un sous-résidu de la filtration du sang. Elle permet de réguler ce qui est en trop – à un moment donné – dans le sang. Le sang ne pouvant par définition être toxique – sauf maladie du sang, cas assez rare – puisque sinon nous serions morts, ce qui en est filtré ne devrait pas l’être non plus, c’est logique jusqu’ici. J’ai ensuite vu que l’urine entrait dans la composition de certains médicaments, et lu beaucoup d’autres informations et témoignages qui m’ont permis de changer mon regard.

J’ai commencé assez vite à tester en externe : protection solaire et hydratation bien meilleure qu’avec des crèmes (même si comme pour tout c’est le terrain qui joue : un corps très acidifié brûlera facilement, c’était mon cas d’ailleurs avant ma transition alimentaire !), désinfection des plaies et accélération de la cicatrisation, amélioration du psoriasis, efficace sur les brûlures et autres piqures d’orties (je connaissais de longue date l’astuce pour les méduses même si je n’avais jamais eu à tester)…

Il m’a fallu cependant quelques mois et d’autres rencontres pour passer le cap – psychologique – de porter le verre à ma bouche. Lavement du nez (à la manière du jala neti, avec l’avantage d’être déjà dans les bonnes proportions salines !!!) très efficace en cas de sinusite et même pour dégager des sinus encombrés et abîmés par des années de rhumes, gargarisme magique pour le mal de gorge, et amélioration sensible et visible de toute forme d’allergie. C’est même là que le psoriasis que je subissais depuis ma naissance a capitulé…

Bien sûr, il est plus facile de se faire une idée quand on est déjà passé à une alimentation végétale et vivante, les odeurs et la couleurs sont loin d’être les mêmes. Mes différentes périodes alimentaires (« omnivore », « végétarienne », « crudivore à l’état pur », « crudivore avec produits transformés »… pour donner une idée même si ces mots ne veulent plus dire grand chose pour moi aujourd’hui) m’ont permis de voir clairement l’évolution de mes urines selon ce que je mange : beaucoup de sel ajouté ? Elles seront salées de façon désagréable. Un repas « riche » épicé, gras et cuit ? Elles n’approcheront même pas mon nez et encore moins ma peau… Du fromage ? Idem. Retour quelques jours à une alimentation 100% fruits sans transformation ni assaisonnement ? Elles redeviennent claires et douces au goût, légèrement sucrées, plus désaltérantes que de l’eau et comme « nourrissantes » au niveau de l’énergie…

Petite précision à toutes fins utiles : je n’ai commencé à m’intéresser à ceci qu’après un premier passage au cru accompagné d’une grosse détoxination (je sais par expérience ce qu’est l’acidité qui « sort » du corps), j’étais déjà végétarienne depuis quelques temps, et je ne consommais plus aucun médicament (contraceptif inclu) ni – quasiment – plus aucun produit cosmétique issu de l’industrie pétro-chimique…

 

Quelques liens pour aller plus loin :

http://santeglobale.monic.pagesperso-orange.fr/amaroli.htm

http://www.santeglobale.info/amaroli/

http://www.elishean.fr/?p=9908

http://www.sidasante.com/temoigna/temamar.htm

 

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