Fin d’un cycle, ou comment la métamorphose a déjà eu lieu en silence…

Période sensible, étonnante, enrichissante. Je constate avec un certain émerveillement que nous sortons de la période de Noël qui fut un magnifique passage pour moi. En effet, cette année, le jour de Noël (et celui d’avant, et celui d’après) ont été pour moi parfaitement semblables à tous les autres jours de l’année. Ce fut une révélation et un cadeau simplement magiques ! Pourquoi ? Comment ça ? Et la « magie de Noël » alors ? Le rêve, la féérie, les cadeaux, les retrouvailles en famille…?? Pénélope, tu délires là ! Et bien non, je ne délire pas. Et je suis heureuse et reconnaissante de le dire : dans mon monde, c’est tous les jours Noël si vous préférez le voir ainsi !

Message à ma famille

A ma famille, à mes familles… J’ai grandi pleine de croyances, emplie de l’éducation transmise par vos propres schémas de pensée, ceux de la société, de l’école, du monde des « adultes ». Mon monde intérieur n’était pas réprimé en soi, mais il n’avait de place qu’à l’intérieur de moi, il était considéré comme celui d’un enfant, fait de rêveries et d’imagination. A présent j’ai repris contact avec ce « monde intérieur », et découvre jour après jour qu’il n’a d’intérieur que le nom. C’est en réalité une véritable porte d’accès vers l’univers.

Un si beau reflet

Notre environnement extérieur est un reflet de notre monde intérieur. De la même manière que le processus alchimique transforme l’alchimiste en même temps que les métaux se transforment dans son creuset, nous nous modelons, nous nous créons, nous nous métamorphosons en même temps que nous « aménageons » notre environnement.

Toutes les réponses…

[Mise à jour Novembre 2015] … sont en nous. En quelques années ma vie a basculé, changé, évolué, transitionné… J’ai retranscrit ce parcours, comme il m’a été permis de le retranscrire lorsque j’étais en voyage entre février et avril 2014.

Une expérience de l’individualité

Je me plais à penser parfois que nos modes de vie sont souvent en décalage profond et total avec ce que nous aimerions et pourrions vivre en réalité. Ah oui cela doit faire rire – ou faire peur – vu de l’espace ! Comment avons-nous pu nous couper autant les uns des autres ? Comment avons-nous pu nous couper autant de nous-même ? Qui peut-dire aujourd’hui pouvoir compter sur les autres représentants de son espèce, les êtres humains, dans l’amour inconditionnel et la simplicité ? Sans projections ni arrières pensées, sans attentes déçues ou sans connaître un jour ce sentiment de solitude, d’injustice, de devoir «affronter» le monde…?

Laurent Gounelle – Le philosophe qui n’était pas sage

  Une mention spéciale pour ce livre arrivé juste quand j’en avais besoin dans mes compréhensions… Il représente de façon assez directe un grand nombre de mes prises de conscience de ces 3 dernières années, j’ai un peu eu l’impression de lire page après page, décrites précisément, toutes ces prises de consciences sur les dérives de nos sociétés « développées ». Le tout très joliment écrit et permettant de prend un recul salutaire pour réfléchir à : ok et on fait quoi maintenant ?

Trois années pour se découvrir

Il y eut d’abord une bonne année de maturation, sans changement flagrant. Ensuite de nombreuses lectures, discussions, échanges, tests. Nous voici trois ans ans plus tard. Bilan et partages regroupés à partir des articles initialement publiés sur Terra Eco… Quand je prends le temps de me poser quelques instants, en général quand quelqu’un m’interroge sur mon parcours et mon mode de vie, j’ouvre les yeux sur deux années de « petits changements » du quotidien… Mis bout à bout, je commence enfin à être plus en accord avec ma conscience et à me sentir vivante.