Être soi-même

La seule et unique chose qui nous empêche « d’être nous-même », c’est nous. Par peur de ne plus correspondre à « l’image » que les autres se sont fait de nous, par crainte de perdre certains repères qui nous ont rassurés jusqu’ici, et le plus souvent par simple manque de connaissance du fait que nous ne sommes pas spontanément « nous-même » dans nos sociétés actuelles. Généralement nous n’avons même pas en tête l’idée que cela puisse être autrement.

La prophétie des Andes – James Redfield

La première étape pour modifier notre regard sur le monde est de s’ouvrir « mentalement » à une perspective nouvelle, d’élargir notre esprit à un autre « possible »… C’est une étape incontournable, puisque si notre mental n’est pas prêt, pas d’accord, ou s’il ne suit pas, il y aura refus, blocage, déni ou même impossibilité pure de voire les choses sous ce nouvel angle qui se présente à nous.

Nos croyances limitantes

Je me souviens de ma mère me racontant des expériences dont elle avait eu connaissance, faites pour soigner des groupes d’enfants notamment de petits bobos ou de verrues. Il s’agissait de leur faire dessiner par exemple le contour de leur main avec la verrue dessinée à sa place, puis de la gommer, et de refaire cela jour après jour. L’idée que la verrue réelle disparaissait en même temps que l’on gommait celle sur le papier

Un si beau reflet

Notre environnement extérieur est un reflet de notre monde intérieur. De la même manière que le processus alchimique transforme l’alchimiste en même temps que les métaux se transforment dans son creuset, nous nous modelons, nous nous créons, nous nous métamorphosons en même temps que nous « aménageons » notre environnement.

Retrouver son âme d’enfant

Courir sous la pluie la bouche ouverte pour attraper les gouttes, sauter dans les flaques les 2 pieds joints, rire spontanément quand l’envie nous en prend, faire de même avec les pleurs qui se présentent quelle qu’en soit la raison… Tout ceci est le quotidien d’un enfant. Il s’exprime par tous les moyens

Nos interactions avec le monde

Nous croyons bien souvent qu’il y a « nous » (moi, je…) et « les autres ». En un sens c’est correct, ne serait-ce que parce que nous vivons chacun dans « notre monde », avec notre vision des choses, notre interprétation, notre perception. Mais il serait dommage de s’arrêter là, puisqu’en réalité il est de plus en plus souvent démontré que « nous sommes tous un ». Qu’est-ce que cela veut bien pouvoir dire ?

Pourquoi mangeons-nous ?

Dans notre « monde civilisé », nous ingérons une quantité certaine de repas répartis au cours de nos journées. Nous consacrons souvent énormément de temps à la gestion de la nourriture : nous y pensons avant d’aller faire les courses, nous achetons, nous rangeons, nous prévoyons, nous préparons, nous mangeons, nous nettoyons, nous digérons, nous éliminons, et le cycle recommence

Les émotions, ce territoire inexploré

Nous en sommes rarement conscient, mais les émotions sont l’un des piliers de ce qui dirige nos vies. Elles peuvent être de sages guides quand nous avons appris à les connaître et les décoder, ou des forces à premières vues incontrôlables qui nous font parfois bien peur. Nous appréhendons tous le monde à travers le filtre de nos émotions. Ce sont elles qui nous renseignent sur une situation, avant même que notre cerveau ait entamé la moindre réflexion.

Nos choix d’aujourd’hui dessinent le monde de demain

Nombreux sont ceux qui s’indignent, s’offusquent et se désespèrent devant ce qu’ils découvrent de notre monde civilisé actuel. De scandales de l’industrie médicale en horreurs de celle agro-alimentaire, des conditions de « travail  » (ou plutôt esclavagisme, le terme serait plus approprié) à l’autre bout du monde ou au coin de la rue pour nous approvisionner en produits que nous considérons indispensables puisque faisant partie de l’évolution de notre « civilisation  », nous ne pouvons que constater l’écart entre ce que nous souhaitons comme modèle de société et ce qu’elle est réellement. Sommes-nous réellement impuissants face à cela  ? Je ne le pense pas.

Canalisation ?

Expliquer pourquoi je me retrouve à canaliser me serait actuellement impossible. Je peux en revanche expliquer comment ça m’est « arrivé », et toutes les interrogations que cela a provoqué, ce qui permettra pour ceux qui ne sont pas familiers sur le sujet de comprendre un peu mieux de quoi il s’agit.