Nos croyances limitantes

no-trepassingJe me souviens de ma mère me racontant des expériences dont elle avait eu connaissance, faites pour soigner des groupes d’enfants notamment de petits bobos ou de verrues. Il s’agissait de leur faire dessiner par exemple le contour de leur main avec la verrue dessinée à sa place, puis de la gommer, et de refaire cela jour après jour. L’idée que la verrue réelle disparaissait en même temps que l’on gommait celle sur le papier réussissait à créer quelque chose chez ces enfants, puisque les résultats étaient concrets et leurs verrues ou bobos disparaissaient réellement bien plus vite que la « normale », et ne revenaient plus.

Aujourd’hui on connait l’effet placebo, qui montre la puissance de la pensée dans le processus de guérison, mais également de plus en plus les effets de la méditation, de la pensée positive, et des diverses « programmations mentales » que l’on peut se faire pour se soigner autant que pour changer nos fonctionnements quotidiens. La foi serait l’exemple le plus extrême et le plus parlant : une croyance suffisamment forte, intense, et surtout entière (sans interférence, limitation ou doute), donne lieu à ce que l’on nomme des « miracles » : guérisons inexpliquées et pourtant avérées.

Avez-vous remarqué comme parfois au réveil vous pouvez vous sentir bien, lorsque vous êtes « entre deux sommeils », pas encore tout à fait revenus dans la réalité ? Pour ma part j’ai constaté des moments de flottement à ce moment-là, où je sens que mon corps fonctionne « parfaitement ». Peu importe que je sois dans une pièce humide avec des poils de chat et que je me sois endormie la veille avec des difficultés respiratoires au bord de la crise d’asthme, ou que ce soit une douleur qui me « gâche » mes journées ou un quelconque autre bobo, le matin lorsque je suis déjà consciente de me réveiller mais pas encore tout à fait « revenue » dans mon corps comme on dit, tout va – sauf cas très particulier – absolument bien. Respiration ample et fluide, pas de douleur, sensation de bien-être, idées claires et enthousiastes… Jusqu’à ce que ma « conscience » (ou serait-ce mon cerveau ?) reprenne les rennes et me rappelle le contexte et les soucis avec lesquels je cohabitais en m’endormant. Il réapparaissent alors peu à peu – nez qui coule ou difficultés à respirer, douleur au point de ne plus pouvoir bouger, impression de ne plus savoir comment et par quoi commencer la journée… – et augmentent plus ou moins rapidement selon l’attention que je leur accorde et ce qu’ils ont à me transmettre comme message.

La douleur, comme tout « signal indicateur » du corps ne serait qu’une vibration, mise à notre disposition pour nous indiquer quelque chose. Si nous l’identifions comme l’indicateur qu’elle est censée être elle est censée disparaître d’elle-même aussi rapidement. Il en est de même pour toute pensée, une question de vibration. J’ai aussi fait à plusieurs reprise l’expérience d’augmentations de mon champ vibratoire, de mon énergie, de la vitesse de rotation de ma merkaba – peu importe le nom qu’on donne au phénomène quand on l’a vécu on sait de quoi il s’agit -, de façon intense et ponctuelle : aucune douleur ou difficulté ne subsiste. Mais comme après le « premier réveil », tout revient progressivement quand la « conscience quotidienne », la personnalité, les croyances redeviennent plus fortes.

De toutes mes lectures, ressentis et compréhensions, je ne doute absolument plus aujourd’hui de la possibilité que nous avons, en tant qu’humains incarnés dans des véhicules si perfectionnés et parfaits, de transcender, dépasser, transmuter toute douleur ou tout problème, tout schéma de fonctionnement ou toute réaction préprogrammée. Tout comme j’ai pu observer les capacités « extra-sensorielles » ou « kinesthésiques » de nombreuses personnes s’éveiller et se développer au point qu’avant j’aurais classé cela en « paranormal », j’observe quotidiennement la puissance de nos pensées et de nos croyances. Ce sont réellement elles qui déterminent ce que nous vivons, tant que nous leur laissons les commandes. Je commence à percevoir la force et la puissance illimités qui sont en nous et dont nous sommes souvent inconscients.

Je n’en suis qu’à l’observation, bien que j’ai déjà commencé les expérimentations… Et si ce texte ne s’inscrit dans aucune réalité absolue de mon temps actuel – si variable et subjectif – j’espère qu’il vous permettra de prendre conscience de votre propre vécu et je vous invite à partager ci-dessous vos observations et outils pratiques.

 

One Reply to “Nos croyances limitantes”

  1. coucou ! Bonjour, Pénélope !
    Merci pour ce message qui fait écho à l’enseignement que je vais mettre sur pied pour de futur(e)s stagiaires, après avoir quitté mon employeur actuel ! tu me confirmes dans l’orientation que je suis en train de prendre… et comme il n’y a pas de hasard…
    Pensées du coeur depuis un paradis scandinave où je flotte littéralement dans la béatitude !

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